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Et si d’ici quelques années, le « nouvelle ordre mondiale » n’étais plus les états unis, l’America Way of life, l’Europe, et quelques pays nordiques qui décides pour le monde des normes financières, des procéder du commerce internationale, et même des pays n’ayant plus le droit de parler, commercer avec les autres ? Cette ordre mondiale auquel nous somme habituer en tant qu’européen s’apprête à étre bouleverser et ce, pour toujours. Les BRICS+, également connus sous le nom de BRICS, sont un groupe de neuf pays qui se réunissent lors de sommets annuels : le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Égypte, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie et l’Iran.
Le groupe a été initialement formé en 2009 sous le nom de « BRIC », acronyme désignant le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine. En 2011, l’Afrique du Sud a rejoint le groupe, ce qui a donné naissance à l’acronyme « BRICS ». En 2024, l’Égypte, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie et l’Iran ont rejoint le groupe, ce qui a donné lieu à la nouvelle appellation « BRICS+ ».
Qu’est ce que les brics ?
Les BRICS ou BRICS+ sont un groupe de neuf pays :
- Brésil
- Russie
- Inde
- Chine
- Afrique du Sud
- Égypte
- Émirats arabes unis
- Éthiopie
- Iran
Le nom « BRIC » a été utilisé pour la première fois en 2001 par un économiste de Goldman Sachs pour désigner le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine. L’Afrique du Sud a rejoint le groupe en 2011, formant ainsi les BRICS. L’Égypte, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie et l’Iran ont rejoint le groupe en 2024. L’Argentine et l’Arabie Saoudite ont également été invitées à rejoindre le groupe en 2024, mais l’Argentine a refusé et l’Arabie Saoudite n’a pas encore confirmé son acceptation.
Les Brics representes un formidable contre pouvoir au Dollars tout puissant americain. Car aujourd’hui, pour commercer sur les marcher internationaux, il est obligatoire de le faire en dollars. Mais cella pourrais bientot changer, et ce nouveau groupement de pays non alligner pourrais en étre le moteur.
Que viens faire la Corée du Nord dans les Brics ?
La Corée du Nord, souvent perçue comme un état isolé sur la scène internationale, voit dans les BRICS une opportunité de renforcer ses alliances économiques et de contourner les sanctions internationales qui pèsent sur elle.
L’adhésion au groupe des BRICS lui permettrait d’accéder à des systèmes de paiement alternatifs, notamment ceux en développement autour des monnaies numériques des banques centrales. Cela lui donnerait la possibilité de se libérer de la dépendance au réseau SWIFT, contrôlé par les puissances occidentales, et auquel elle a des restrictions d’acces.
De plus, cette démarche s’aligne avec la volonté de Pyongyang de gagner en autonomie et en respectabilité sur la scène internationale.
La Corée du Nord cherche une stratégie de survie dans un monde multipolaire en évolution et considère les BRICS comme une plateforme pour renforcer sa légitimité et briser son isolement.
Une intégration pas encore claire ?
L’intégration de la Corée du Nord au sein des BRICS reste toutefois hypothétique. Aucun des documents fournis n’indique que la Corée du Nord a officiellement demandé à rejoindre le groupe, seulement qu’elle a exprimé un intérêt.
Même si nous pensons qu’il serais sans doute plus préférable pour le pays que ça demande d’intégration au groupe de pays soit la plus discrète possible.
De plus, l’adhésion de la Corée du Nord poserait des défis importants, car le pays devrait se conformer aux normes internationales et répondre aux exigences de transparence financière.
Les BRICS, composés de l’Afrique du Sud, du Brésil, de la Chine, de l’Inde et de la Russie, se positionnent de plus en plus comme un contre-pouvoir à l’hégémonie occidentale, notamment sur le plan monétaire.
Le groupe a récemment accueilli de nouveaux membres : l’Arabie saoudite, l’Iran, l’Égypte, les Émirats arabes unis et l’Éthiopie. L’objectif des BRICS est d’étendre son influence et de faire contrepoids aux États-Unis et à l’Europe.
